Des scientifiques des Universités du Texas et de Californie à San Diego, auteurs d’une étude publiée le 11 courant, ont analysé le rapport entre le port du masque et l’évolution de la situation épidémiologique en Chine, en Italie et à New York, du 23 janvier au 9 mai derniers.
L’analyse révèle que le port du masque représente le principal déterminant de la situation dans les trois épicentres. À elle seule, selon eux, cette mesure de protection a considérablement réduit le nombre d’infections, soit plus de 78.000 en Italie du 6 avril au 9 mai et plus de 66.000 à New York du 17 avril au 9 mai, explique Dr Khadija Moussayer, spécialiste en médecine interne et en gériatrie et présidente de l’Association Marocaine des Maladies Auto-Immunes et Systémiques (AMMAIS), dans un communiqué publié lundi 29 courant.
Figurant parmi les mesures préventives recommandées, à côté du respect de la distanciation physique et l’évitement des rassemblements, « le masque est un moyen peu coûteux, qui peut rapporter « gros » à notre santé et à celle des autres ! », souligne Dr Moussayer.
Le meilleur exemple en est celui des Chinois qui portent des masques depuis des années, principalement à cause de la pollution, ainsi que les quatre « dragons » asiatiques -Taïwan, Corée du Sud, Hong Kong et Singapour – qui ont bien su contrôler l’épidémie par un port obligatoire du masque dès le début, accompagnant une stratégie globale de dépistage massif, de quarantaines très strictes et de suivi au cas par cas grâce aux outils numériques, ajoute Dr Moussayer.
Par ailleurs, les Marocains ont fait preuve de beaucoup de discipline et d’abnégation lors du confinement, s’est félicitée Dr Moussayer, avant de signaler qu’il ne faut pas baisser les bras en abondant le port des masques de protection, et courir ainsi le risque d’une seconde vague épidémique.
L’analyse révèle que le port du masque représente le principal déterminant de la situation dans les trois épicentres. À elle seule, selon eux, cette mesure de protection a considérablement réduit le nombre d’infections, soit plus de 78.000 en Italie du 6 avril au 9 mai et plus de 66.000 à New York du 17 avril au 9 mai, explique Dr Khadija Moussayer, spécialiste en médecine interne et en gériatrie et présidente de l’Association Marocaine des Maladies Auto-Immunes et Systémiques (AMMAIS), dans un communiqué publié lundi 29 courant.
Figurant parmi les mesures préventives recommandées, à côté du respect de la distanciation physique et l’évitement des rassemblements, « le masque est un moyen peu coûteux, qui peut rapporter « gros » à notre santé et à celle des autres ! », souligne Dr Moussayer.
Le meilleur exemple en est celui des Chinois qui portent des masques depuis des années, principalement à cause de la pollution, ainsi que les quatre « dragons » asiatiques -Taïwan, Corée du Sud, Hong Kong et Singapour – qui ont bien su contrôler l’épidémie par un port obligatoire du masque dès le début, accompagnant une stratégie globale de dépistage massif, de quarantaines très strictes et de suivi au cas par cas grâce aux outils numériques, ajoute Dr Moussayer.
Par ailleurs, les Marocains ont fait preuve de beaucoup de discipline et d’abnégation lors du confinement, s’est félicitée Dr Moussayer, avant de signaler qu’il ne faut pas baisser les bras en abondant le port des masques de protection, et courir ainsi le risque d’une seconde vague épidémique.